vendredi 21 janvier 2011
Janvier, lumineux...
Bonjour,
Les rentrées littéraires se succèdent à grand pas. Que dit celle de janvier?
De belles choses :
- Nouveaux opus, attendus, de Christine Angot, Philippe Delerm, John Irving, Alexandre Jardin, Jonathan Coe, Jean Marie Pelt, Philippe Sollers... Qu'en dire que vous n'ayez déjà lu, ou vu, ou entendu, tant ces auteurs ont bénéficié d'une couverture enviée? Angot s'est bonifiée comme le vin (si vous n'aimiez pas Angot avant, c'est le moment de vous y mettre), John Irving livre, après sept longues années de silence un titre majeur...
D'autres, moins attendus, dont on parle moins, et pourtant :
Leonardo Padura, "L'Homme qui aimait les chiens", Sybille Grimbert, "Le Vent tourne" (comédie virevoltante où les destins se jouent en quelques heures, dit l'éditeur, et j'ajoute maestria des dialogues...), et puis, et puis... Ana Maria Matute, "La Tour de Guet", véritable coup de coeur, qui a le goût de "L'Elu" de Thomas Mann, de certaines pages d'Elsa Morante, de "Sur les Falaises de Marbre" d'Ernst Junger... Somptueux.
Et puis des nouveautés en poche...
Et puis :
Le dernier Camilla Läckberg, "L'Enfant allemand"
L'excellent "Guerre sale" de Dominique Sylvain, auteur(e) de polar, (originaire de Thionville), publiée chez Viviane Hamy, et dont l'exemplaire en service de presse achève de circuler entre lecteurs de La préface, tandis que le livre vient d'apparaître (et de très rapidement repartir, tant le dernier volet des enquêtes de Lola Jost vaut le détour)...
Et puis (répétitif, je sais, mais le choix est difficile et confine à l'inventaire d'un magazin de jouets dans les yeux d'un enfant)... La Préface a reçu ces jours dernier la visite de Jean François Manier, qui préside aux destinées de la Maison d'Edition Cheyne, éditeur rare de poésie rare, dont de beaux échantillons du catalogue vous attendent, à peine sortis de leur écrin de papier (Jean François Manier est extrêmement attentif, au choix des textes, (et quel choix!) et à la qualité de ses livres. Chacun est un plaisir tactile, sensuel, et les simples chutes de papier qui emmitouflent les colis valent pour écrin.
La poésie est un genre à (re)découvrir, perpétuellement, sans préjugés...
Enfin (mais il y a tant à dire...) La préface est aussi un café (thé, chocolat, cappuccino...), qui vous propose désormais d'emporter et retrouver chez vous (café moulu, dosettes), l'arôme de ce café italien qui embaume l'air et s'y mélange aux fragrances du papier et de l'encre d'imprimerie.
A bientôt?
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